Les perturbations - quatre à cinq par jour - sont violentes et courtes. L’air est tellement humide que les maillots de bain n’ont pas le temps de sécher pendant la nuit, et que mes lunettes de vue s’embuent dès que je mets le nez dehors !
La mer, encore sauvage, continue de raviner la plage dont le sable forme de petites collines.
Dans le cadre de notre voyage-pèlerinage, nous logeons à nouveau au Baia do Sol !
La saison touristique n’est pas encore commencée, la moitié des hôtels sont encore fermés, idem pour les restaurants.
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