La température grimpe à chacun de nos passages, maintenant elle dépasse 40° l’après-midi. Nous sortons aux heures les plus fraîches, et passons le reste du temps dans la chambre à lire et à écrire.
Une visite chez le dentiste conseillé par notre guesthouse. François se fait recoller un bridge qui a cédé aux caramels vietnamiens. Je me fais faire un détartrage.
Le cabinet est nickel, le matériel récent et l’hygiène irréprochable, de plus, les dentistes thaïlandais font preuve de beaucoup de douceur - les prix également.
Attention, bien se laver les pieds et se nettoyer les ongles avant d’aller chez le dentiste : il faut enlever ses chaussures quand on entre dans le cabinet, comme dans toute maison thaïlandaise, d’ailleurs.
J’interromps le cours de cette lettre pour un message urgent du commandant François : - Affirmatif les p’tits gars, on grimpe au front. Et si on a du cul, on s’ra d’la r’voyure. On n’est pas des gonzesses !
J’interromps le cours de cette lettre pour un message urgent du commandant François : - Affirmatif les p’tits gars, on grimpe au front. Et si on a du cul, on s’ra d’la r’voyure. On n’est pas des gonzesses !
En langage décodé cela signifie que nous partons au Cambodge et je me demande si j’emporte une tenue de camouflage en plus du gilet pare-balles.
Il paraît aussi que l’ambiance est “spéciale” là-bas : la bière coule à flots et les prostituées sont sur les genoux. Faut bien qu’ils s’occupent, les petits gars de l’ONU en attendant les élections prochaines !
P.S. Comment s’appelle la petite dernière de M. et Mme Lepetit-Dernier ?
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