Aujourd’hui, une virée à l’extrême est de Bali. En chemin, aux alentours de Tirtagangga, c’est le choc visuel : nous surplombons les plus beaux paysages de rizières que nous ayons jamais vus. La terre nourricière devient une œuvre d’art.
La nouvelle route de l’Est, coincée entre la mer d’un côté et le mont Seraya de l’autre, est très étroite, sinueuse. Pas plus de 20 kilomètres à l’heure sur ses montagnes russes ! En revanche, la vue est grandiose car nous dominons un paysage extrêmement contrasté : mer d’un bleu profond, écume blanche, sable noir volcanique, et bateaux colorés des pêcheurs.
Les villages de la région ne sont guère reluisants. La mer seule pourvoit aux besoins, grâce à la pêche et à la récolte du sel. La terre est trop ingrate.
Au retour passage par Goa Lawah.
Il y en a vraiment beaucoup et gare à l'odeur !
Au retour passage par Goa Lawah.
Il y en a vraiment beaucoup et gare à l'odeur !
Notre activité culturelle de la journée à Ubud : la maison du peintre philippin Antonio Blanco, toujours vivant, marié à une danseuse balinaise, et vivant ici depuis des lustres.
La jolie petite danseuse représentée sur les tableaux vient nous rejoindre ; elle a 40 ans de plus, mais elle a gardé la même délicatesse dans les mouvements des bras et des mains.
Photos avec Dali, livres sur son mari, tableaux en cours, elle nous montre tout dans l’atelier du peintre et nous laisse découvrir d’autres pièces et le jardin. À visiter pour l’ambiance, l’architecture et la décoration.