Le voyage en minibus entre Jakarta et Yogya est assez pénible : après le traditionnel ramassage qui dure trois heures à cause de la pluie et des encombrements, nous quittons enfin Jakarta, vers vingt heures. La route est rendue dangereuse par le trafic intense des camions, les appels de phares et les coups de klaxon. C’est complètement épuisé, que l’unique chauffeur atteint Yogyakarta vers dix heures du matin, cela fait deux heures qu’il chante pour se tenir éveillé.
Nous avons, nous-mêmes, beaucoup de mal à nous traîner jusqu’au déjeuner, avant de nous écrouler sur le lit. Dehors, il pleut toujours.
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