BHOUTAN
C’est Xavier, un ami qui rentrait d’un voyage au Bhoutan en septembre 1992, qui nous a mis l’eau à la bouche. Ce pays très fermé, donc mystérieux, avait attisé notre curiosité, malgré des conditions financières hors normes.
Bienvenue au Bhoutan ! |
Très confortable et silencieux, l’avion de la Druk Air (ex-Royal Bhutan Airways). Nous atterrissons à Paro, le seul endroit où l’on a pu construire un aéroport dans ce petit pays montagneux.
Après les formalités d’entrée et de change dans un local de quatre mètres carrés, nous nous retrouvons dehors, au froid, bientôt rejoints par un guide qui nous emmène vers notre minibus privé. Pour nous être agréable, le chauffeur a laissé le moteur en marche pour chauffer le véhicule…
Timbres à l'effigie de S.M. le roi Jigme Singye Wangchuck |
La vie de pacha ? Bien obligés d’en passer par là pour visiter le Bhoutan ! Pour ne pas voir son pays envahi par les touristes, comme son voisin le Népal, le gouvernement a opté pour une politique de prix extrêmement élevés.
Impossible de voyager en routard : chaque touriste - ou groupe de touristes - est pris en main par un guide, et dispose de son propre moyen de transport. Nous avons un minibus pour nous deux, un chauffeur et un guide parlant anglais. Les hôtels sont réservés pour toute la durée du séjour, car la capacité d’hébergement est très faible en dehors de Paro, et de Thimpu, la capitale.
À l’Hôtel Olathang, notre chambre est glaciale malgré le chauffage mural et la chaufferette d’appoint. Nous essayons de nous réchauffer dans l’immense salle de restaurant où un buffet est dressé pour les trois couples d’étrangers dont nous faisons partie.
M. et Mme Pipourtoi ont appelé leur fils... Gaëtan!
Sésame ouvre-toi |
M. et Mme Pipourtoi ont appelé leur fils... Gaëtan!
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